Ce qui marque ce n’est pas tant le résultat, minable, en termes d’emplois nouveaux, mais bien comment cette sous-performance évidente a servi de « success story » à la propagande gouvernementale côté francophone, relayée par des médias révérencieux qui laissent entendre, mois après mois, années après années, que puisque le chômage baisse (pas toujours pour de bonnes raisons) et que des emplois (peu durables, à bas salaire) sont créés, tout va mieux quand dans la vraie vie, les Wallons et Bruxellois appauvris par la poltique gouvernementale rament à contre-courant.

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